Identité & Football ?
C’est l’histoire d’un peuple autochtone qui a planté des graines de xénomanie puis greffé sur l’arbre venu un masochisme haineux. Quand vint le temps de la récolte nous mangeâmes les fruits de la folie. C’est l’histoire de la France de 2016 qui vous est comptée.
Il convient bien sûr ici de rectifier le début de la phrase où est utilisé le mot peuple. Le peuple français n’est évidement pas responsable de ces choix désastreux qui ont amené notre pays au bord du précipice. Les usurpateurs qui ont prétendu agir au nom du peuple français sont les responsables de ce chaos. Le peuple français est ce que l’on appelle le dindon de la farce.
Si des Tibétains, des Argentins ou des Congolais normalement constitués débarquaient pour la première fois en France aujourd’hui comment pourraient-ils comprendre ce génocide identitaire organisé par les propres « élites » de la nation ?
Peut-être faudrait-il s’éloigner un peu d’une analyse sociétale habituelle pour essayer d’identifier une folie pas ordinaire…
Peut-être qu’un reflet permet parfois de regarder la chose étudiée quand on ne peut plus rien discerner en la regardant dans les yeux…
Le football nous permet peut-être d’observer notre société en déliquescence totale…
Peut-être même que ce sport-tragédie ou cette tragi-comédie nous fait voir une sorte de chronique d’une mort annoncée…
La France, n’en déplaise aux malades de la négation de l’histoire et de la négation du réel est un pays, un peuple donc, de race blanche et de culture gréco-latine. C’est aussi un peuple chrétien.
La France pour des raisons que nous crûmes bonnes mais qui risquent aujourd’hui d’être la cause de notre disparition, de notre ethnocide, a depuis longtemps décidé de se jeter dans l’humanisme comme on entre en religion.
Cet humanisme dont on pourrait imaginer cent définitions différentes a pris de plus en plus dans sa version française un aspect altruiste extrémiste tel que le « nous », condition nécessaire à l’existence de « l’autre », devait se réduire comme peau de chagrin et aura, bientôt peut-être, disparu. N’importe quel Tibétain, Argentin, ou Congolais comprendrait qu’après la disparition du « nous », « l’autre », aussi, aura disparu. Mais les Français, dans leur prison à ciel ouvert, pour une bonne partie encore, s’accrochent à la folie de cette dictature ethnocidaire.
Cet humanisme faux où nos « élites » criminelles ont fini par forcer notre pays à se vautrer a commencé, bien sûr, par l’ouverture à l’autre.
Cette ouverture à l’autre, admirable par bien des aspects, en son début, ce fut, par exemple, une équipe de France de football où des joueurs noirs ou/et extra-Européens ou d’origine étrangère, européenne ou non, avaient toute leur place et en nombre important dans l’équipe tricolore et dans le cœur du peuple de France. Aucun autre pays parmi les peuples blancs, européens n’ont jamais autant et avec tant de naturel et d’esprit d’ouverture accueilli au sein de son équipe nationale une telle population variée et colorée. Il ne s’agissait pas encore de disparaître mais d’être fraternel, ouvert, généreux…en un mot humain.
Certains diront peut-être qu’alors le ver était déjà dans le fruit. Toujours est-il que la France a fait ce qu’aucun autre pays n’a fait. Certains pays européens s’y essayent depuis peu et dans des proportions bien moindres.
Nous devons pourtant constater deux choses. La première est que depuis la terrible ère Domenech, qui n’était probablement pas là pour le football mais pour mettre en pratique une idéologie, nous connaissons une lente dérive africaniste qui a comme toile de fonds le mondialisme. La deuxième constatation qui s’impose est que les Français, donc d’origine européenne, connaissent une situation de minorité, soit dans le nombre soit dans le ressenti qui les fait exister dans un espace psychologique d’entité minoritaire.
Ces jours-ci, juste avant le début de l’Euro de football, nos médias mondialistes anti -Français, c’est-à-dire tous nos médias ayant pignon sur rue, toutes nos chaînes de télévision, toutes nos radios, publiques et privées, tous nos quotidiens d’information se posent la question : la France est-elle raciste ?
Mais la réponse est oui. Mille fois oui. La France est raciste. Oui la France, au-delà de la connaissance du nombre, interdite dans notre dictature, connaît un racisme de la nouvelle majorité. Cette majorité psychologique constituée des 15 à 20 millions d’extra-Européens, de quelques dizaines de milliers de personnes constituant « l’élite », politiques, journalistes, gros patrons et autres dominants économiques, intellectuels autorisés à s’exprimer, people du show-biz et autres issus du monde du sport, du monde des arts subventionnés, plus quelques centaines de milliers de collaborateurs bobos ou assimilés y compris une partie non négligeable de pauvres, ne connaissant pas comme le collabo bobo aisé une situation professionnelle privilégiée lui permettant de s’imaginer à son petit niveau un globalisé voyageur pseudo ouvert d’esprit, pauvres donc, intérimaires, au RSA, chômeurs, désocialisés, voire semi SDF et autres antifas discriminent le Blanc.
Cette nouvelle majorité psychologique, encore minoritaire dans le nombre, est pleinement et définitivement raciste. Ils ont un ennemi clairement identifié. Un ennemi dont ils veulent la peau.
Cette nouvelle majorité est définitivement raciste et ne cesse d’exprimer sa haine du Blanc, du Français, du Chrétien, de l’Européen, de l’autochtone.
Chaque jour les médias et toute la collaboration sous tous ses aspects organisent la destruction du peuple français et créent pour cela un pays prison où chaque Blanc de souche doit se justifier de ne pas être raciste tel le sélectionneur Deschamps qui sélectionne plus de 50 % de joueurs noirs et qui doit subir un tag raciste sur sa maison.
Il est donc bien difficile dans ce pays-prison de pouvoir argumenter puisque Benzema, Debbouze et Cantona peuvent exprimer leur racisme de toutes les manières et que même ceux qui participent au système comme Deschamps finissent par se voir mettre dans le camp des coupables.
Deschamps, dans sa situation de privilégié et d’homme écouté, aurait la possibilité d’agir contre cette dictature ethnocidaire de son propre peuple. Mais il n’agit pas. C’est le moment où il apparaît évident que le collaborateur, le colonisé ne sera jamais assez déblanchi, déseuropéanisé, acculturé, islamisé, assez traitre à son peuple et à sa patrie et qu’il devra toujours, chaque jour, faire un peu plus allégeance à l’occupant.
Le message est de plus en plus clair. Plus vous perdrez votre identité et essaierez de singer le colon, vous Français collabos, plus vous devrez vous nier et disparaître sans que cela vous empêche à la fin de finir comme le reste des vôtres.
La vérité est que Benzema est raciste et que Debbouze est raciste. Tout le montre dans leur prises de position et attitudes récurrentes. Cantona, lui, est passé directement au stade de la collaboration active avec l’occupant. Deux cas différents donc.
Les deux premiers servent ce qu’ils pensent naturellement, instinctivement, être leur intérêt communautaire, tribal, identitaire à savoir l’hostilité envers l’autochtone, l’ennemi à coloniser par tous les moyens selon le principe de la Taqiya ou d’une forme de Taqiya qui consiste à avoir différentes attitudes selon la situation mais pour servir le même but. Avancer ces pions pour grignoter du terrain dans le but de devenir majoritaire et de finir par dominer l’autre.
Le troisième est dans une situation différente puisqu’il trahit son peuple, son ethnie soit parce qu’il a a fait alliance avec l’autre peuple soit par idéologie soit par égocentrisme, ne sachant plus comment faire parler de lui, comme en dénonçant des pseudo beaufs du bas peuple que, lui, belle âme, viendrait éclairer.
Le troisième est bien sûr le pire. Mais les trois, avec d’autres, ont un point commun. Ils sont ou ont été adulés, aimés par le peuple méprisé et trahi. Ils sont aussi ou ont été très largement rémunérés voire riches. Ils ont ou ont eu une vie de privilégiés. Mais ceux qui leur permettent de vivre cette vie rêvée triment tous les jours pour vivre et de plus en plus pour survivre. Cependant ces trois tristes sires ne réservent que crachats pour le bas peuple piétiné. « L’élite » criminelle qui dirige tout et tient tout dans le pays-prison leur donne des petites tapes amicales sur l’épaule et leur dit chaque jour qu’ils font partie de la caste. Cette caste intouchable, mais pas au sens indien, peut se permettre d’être raciste si elle est d’extraction extra-européenne et a le droit de demander aux Français de souche de se justifier de tout racisme, comme Didier Deschamps, coupable de ne pas être d’une famille métissée dixit le philosophe Cantona, bien connu pour ses essais profonds sur les mouettes et les pécheurs.
Benzema Karim a déclaré que son pays/équipe de cœur était l’Algérie et la France son pays/équipe de raison. Il ne chante pas la Marseillaise et crache à l’occasion pendant qu’on la joue. Il a trahi son coéquipier à qui il a fait croire qu’il était un ami et l’a traité auprès de son vrai ami, voyou, complice de racket et de la même origine que lui, comme un moins que rien, sans respect, lui enlevant toute dignité. En trahissant et se moquant de Mathieu Valbuena, il a trahi l’équipe de France, chaque joueur de l’équipe de France, la France et le peuple français. Il s’est comporté ainsi avec Mathieu Valbuena parce que celui-ci est Français et Européen et parce que lui n’a que mépris pour les Français, les Européens et les non-musulmans. C’est exactement ce à quoi nous assistons chaque jour dans la société française mais que l’on ne peut pas dire, pas voir, pas entendre justement parce que pèse à chaque instant l’accusation potentielle de racisme. Celle à laquelle justement échappent les racistes. Ceux qui détestent et maltraitent le peuple autochtone. La prison est bien bâtie. Si nous ne commençons pas à dire la vérité, et n’avons pas malice et envie, plus que tout, de ne pas perdre, nous n’y survivrons pas. Peu importe le politiquement correct. Nous devons aller à la vérité que nous fuyons depuis trop longtemps.
Benzema Karim n’a jamais brillé par son jeu en équipe de France, il n’a jamais brillé par son intégration au groupe non plus. S’il avait un minimum d’honneur, lui qui a connu la gloire et la richesse dans un des plus grands clubs du monde, le Real Madrid, il aurait fait le choix de jouer pour son pays : l’Algérie. Mais c’est un petit. Grand joueur au Real Madrid, joueur moyen en équipe de France, petit joueur au jeu de la vie.
Benzema est-il raciste ? Laissez-lui la présomption d’innocence, le bénéfice du doute si vous le voulez mais ne le laissez pas retourner la situation et mettre en accusation le peuple le plus ouvert et le moins raciste de la terre qu’est le peuple français. Cessez d’accepter la défaite face à des petits joueurs qui se jouent, justement, de notre bêtise. Le petit joueur Benzema ne peut sommer le peuple français, le sélectionneur français ou quelque Français que ce soit de se justifier de ne pas être raciste. Ses papiers français ne sont qu’une illusion et nous le savons tous. Et si quelqu’un doit se justifier c’est lui et personne d’autre. Est-il raciste ? Est-il Français ? Pourquoi n’a-t-il pas le courage de jouer pour l’Algérie ?
Il y a un processus en cours dans notre pays et le peuple français doit sortir de sa torpeur, de sa naïveté, identifier et comprendre ce processus afin d’y mettre un terme. Ce processus vise à l’élimination de notre peuple et au vol de notre pays. Petit à petit. Par remplacement. Remplacement des valeurs comme remplacement de population. L’un accompagne l’autre. Il y a un processus de délégitimation du peuple autochtone et de ses valeurs. Ce processus a été engagé par nos « élites », au service de l’empire étatsunien depuis 1945, poursuivi par ceux qui ont récupéré le soixante-huitardisme et enfin récupéré une nouvelle fois pour son plus grand profit par l’immense majorité de la masse extra-Européenne profondément hostile au peuple autochtone européen, blanc, chrétien en vue d’opérer la plus fantastique opération de rapine jamais imaginée : voler petit à petit, chaque jour, la terre, le pays, l’espace naturel, géographique et géopolitique à son peuple légitime.
Le football est un sport qui se joue à onze avec une identité. Cette identité au-delà d’être individuelle pour chacun des onze joueurs est aussi et avant tout collective par le fait que cette équipe de joueurs est l’espace de 90 mn la représentante d’un peuple et que cette équipe est membre de ce peuple et tire sa force des valeurs de ce peuple.
Quand une équipe de France bourrée de valeurs techniques et physiques ne peut se référer à une identité collective parce qu’elle ne partage pas d’origine commune et ne se réfère pas à des repères communs, à des valeurs communes alors elle a besoin d’être dix ou cent fois plus forte qu’une équipe d’Italie, d’Argentine ou d’Uruguay dont chaque joueur se fera exploser les poumons et les cordes vocales pour chanter l’hymne national sachant qu’il porte en lui les cœurs et les tripes de 60 ou 45 ou 3 millions et demi de compatriotes.
Les hommes c’est une identité. Les joueurs jouent avec ce qu’ils sont et vont puiser leur force dans leurs repères et dans leurs valeurs intrinsèques. En tant qu’individu bien sûr. Mais aussi en tant que membres d’un groupe. Car le football est avant tout une union. Un sport collectif qui représente la force que peut produire un groupe.
Celui qui représente par trop le Gaulois, le Français de souche est alors brocardé comme s’il était étranger au groupe et minoritaire, étranger et porteur de valeurs autres que celles admises et digérées par le groupe. C’est le monde à l’envers.
Giroud est de loin celui dont a besoin l’équipe de France. Un vrai numéro 9, pivot, capable de pousser la défense et de peser tant sur elle que sur le dernier défenseur et sur le gardien adverse. Il est celui qui permet aux autres attaquants, rapides, techniques, ayant besoin d’élargir le jeu d’avoir un relai et un vrai avant-centre pour le dernier coup de patte. C’est valable aussi pour le jeu de tête. Il est en outre celui qui a été le plus esseulé, le plus abandonné à son sort et qui a du jouer les seconds rôles derrière un Benzema toujours inefficace avec son équipe de raison. Malgré cela Olivier Giroud a prouvé être le plus solide, le plus résistant et in fine le meilleur.
Des abrutis acculturés et colonisés ou plus sûrement des Français « de raison et de papiers » ont jugé bon d’aller l’insulter et lui dire qu’il avait pris la place de l’autre. Nous marchons sur la tête et l’on ne peut rien y comprendre à l’aune du politiquement correct français. Seule l’explication ethnique tient. Des gens non désireux d’aimer notre peuple, notre histoire et nos valeurs veulent prendre notre place. Ils ne l’auront pas. Jamais.
Nous sommes devenus un peuple colonisé qui accepte le regard du colon et qui accepte de croire ce que celui qui nous colonise nous dit de nous. Il dit que nous sommes racistes et nous somme de nous justifier. Mais remettons les choses à leur place. C’est ce nouveau colon déguisé en victime qui est raciste. Il nous faut nous réveiller, vite, et sommer le colon de s’expliquer puis l’empêcher de nuire, de coloniser, de prendre ce qui n’est pas à lui. Notre pays, notre équipe nationale est à nous. Nous sommes légitimes et c’est notre terre et notre football.
Pourquoi Olivier Giroud est-il sifflé ? Est-ce par racisme ? Parce qu’il est blanc et qu’il a un nom français, n’en déplaise à Cantona ? Pourquoi Gourcuff était-il mis au ban en équipe de France par certains coéquipiers dont un certain Ribery, converti de son état à une religion extra-européenne ?
Ce qui s’applique au football s’applique à la société et vice-versa. Le foot c’est le peuple. L’Italie joue comme le peuple italien voit monde.
La France est un pays de culture gréco-latine. Notre jeu est un jeu technique et tactique dont la valeur collective, le talent créatif sont l’essence. Sans ses valeurs collectives et sans ce jeu basé sur des joueurs techniques ce n’est plus notre jeu.
La génération Platini représente pleinement ce jeu basé sur des joueurs techniques de type européen et d’origine européenne qui avaient des valeurs morales européennes et un fort sentiment collectif très représentatif des forces et des valeurs européennes d’abnégation. Ces valeurs et cette base n’ont jamais exclu la force d’appoint technique comme physique des joueurs antillais et de quelques joueurs d’origine extra-européenne mais ceux-ci étaient minoritaires et venaient s’insérer et s’intégrer dans un dispositif plus global ou le collectif européen était à l’œuvre. Ces joueurs de culture et d’identité non européenne étaient les bienvenus et ne changeaient pas la donne ni l’âme de l’équipe, ils n’étaient pas porteurs d’hostilité envers l’équilibre général et envers l’identité footballistique française issue de la civilisation et des valeurs européennes.
Après l’échec de l’ère idéologique de Domenech qui a aligné jusqu’à 10 joueurs noirs sur le terrain Laurent Blanc a essayé, dans un but uniquement sportif, de revenir à nos valeurs pour retrouver notre force, notre équilibre et le sens de ce que nous sommes car un sportif n’est pas composé uniquement de muscles mais aussi d’une colonne vertébrale, de force morale puisée dans des valeurs et des repères identitaires. Il en est ainsi d’une équipe. L’Algérie, la Turquie, l’Iran, le Mexique, la Corée du sud, la Croatie et toutes les équipes du monde vivent ainsi leur destin sportif et personne ne trouve rien à y redire. Pourquoi pas nous ?
Quand Laurent Blanc a simplement voulu émettre l’idée de sélectionner et de former à nouveau des joueurs de petit gabarit avec une grosse technique et une vision du jeu forte et collective, pouvant aboutir à un jeu tactique qui nous ressemble et qui a donné le meilleur comme en 84 et 98, un employé du football français, maghrébin, a prétendu que Blanc était raciste et voulait écarter les joueurs noirs. ça ne vous rappelle rien ? Ironie du sort les joueurs maghrébins ayant aussi ce jeu technique et de petit gabarit étaient concernés par le changement proposé par Laurent Blanc. Ce sont aujourd’hui les mêmes qui crient au loup parce qu’ils ne sont pas sélectionnés. Prison de tous les côtés. Nos geôliers n’ont même pas l’intelligence d’être logiques dans leur chasse à l’autochtone.
Blanc voulait seulement arrêter l’obsession des gros gabarits censés s’imposer physiquement c’est-à-dire des joueurs noirs. Les équipes composées exclusivement de joueurs noirs existent déjà. Elles jouent selon leur jeu, flamboyant, physique et technique et selon leur identité et leurs valeurs. Elles composent le continent africain. Mais collectivement et en particulier d’un point de vue de l’abnégation individuelle qui permet un dépassement collectif elles n’ont jamais égalé les équipes européennes et n’ont jamais gagné de coupe du monde. Elles ont bien raison de jouer selon leurs valeurs morales et identitaires. Elles produisent un jeu de grande valeur et n’ont rien à envier au reste du monde et personne ne penserait à leur demander de changer ou si elles sont racistes parce qu’elles ne sélectionnent pas leurs minorités ethniques libanaises, indiennes ou chinoises.
Monsieur Blanc a juste pensé, avec raison, que l’on devait jouer selon nos qualités, selon ce que nous sommes. Antoine Griezman, un des plus grands joueurs européens aujourd’hui, a du s’exiler en Espagne pour être accepté. En France on l’a jugé trop petit, trop maigre. No comment.
Parlerons-nous de Valbuena le meilleur d’entre tous pendant longtemps ? Forcément atteint par la trahison de celui qui se présentait comme son ami et par la trahison de toutes ces voix, politiques, sportives ou du show-biz qui ont proclamé leur honteux soutien au joueur de raison Benzema Karim, citons messieurs Zidane, Debbouze et autres politiciens. Qui de vive voix qui du bout des lèvres. Et un certain Didier Deschamps et Noël Le Graët. Contre toute dignité et face au poids d’une opinion publique devenue raciste contre les Blancs ils ont soutenu le complice des racketteurs, usurpateur d’amitié, jusqu’à l’insoutenable.
Où était la voix de ces gens, ces collabos pour soutenir la seule victime de tout ce ramdam nauséabond ? Mathieu Valbuena s’est battu comme personne sur le terrain pendant des années et a été l’âme et le meilleur joueur de notre équipe nationale représentant le peuple français avec fierté et dignité. Même pas sélectionné. Une honte nationale que cet état de fait. Un pays prison.
Sans soutien, trahi, Sali, seul, qui n’aurait pas flanché face aux médias ? Même dans ce cas « petit vélo » aurait du être le premier sélectionné et aurait sans aucun doute retrouvé ses forces pendant l’Euro pour représenter son peuple. Mais Mathieu et son peuple sont en prison.
Monsieur Cantona, marié à Rachida Brakni, adulé pendant des années, traînant une vengeance vieille contre son petit ennemi Deschamps, salit son pays et son peuple pour quelques miettes de gloire bien triste. Pauvre homme, triste sire. Cette encre se salit d’écrire son nom.
Parlerons nous de Nasri ? Non n’en parlons pas. N’en parlons plus. Même catégorie. Même pauvreté. Même fric pendant que le peuple trime et applaudit ses geôliers.
Le cas Ben Harfa est autre. Ce joueur semble avoir changé. Tant mieux. Il a fait une saison incroyable et a prouvé être un joueur extraordinaire. Mais le jeu niçois était taillé pour lui cette année. C’était un jeu un peu à l’Uruguayenne, à l’Argentine, à l’Italienne en ce sens que toutes les forces jouaient pour lui et qu’il était la conclusion logique de toute action. Ce n’est pas le cas en Equipe de France. Il n’y avait pas sa place simplement parce que le jeu n’était pas construit pour un seul attaquant. Point final.
Des tas de joueurs méritent d’être du groupe. Des Gameiro rayonnants, des Mathieu, des Grenier, des Gonalons, des Debuchy, des Tremoulinas, des Perrin. Sont-ils absents car trop blancs, trop Européens, trop petits, trop techniques, trop bons ? C’est probable. Nous n’apporterons ici aucune preuve. Nous savons seulement de quel côté va le vent. Du côté de la colonisation et du remplacement.
Que dire des sélections de Sagna et de Sissoko en équipe nationale ? Que font-ils là ? Pour quelles raisons ? Umtiti et Mangala vraiment ?
N’Golo Kanté semble avoir convaincu beaucoup de monde mais un groupe a été forgé durant des années sans lui et à deux matches amicaux du début de l’Euro comment trouvera-t-il sa place dans le groupe ? C’est un pari qui n’a pas été fait avec certains blancs.
Nous savons que Pogba, Matuidi, Martial et Coman sont là parce que ce sont des joueurs incroyables et pas parce qu’ils sont noirs. Mais a-t-on demandé à Deschamps qui a bien compris lorsqu’il a pris la relève de Blanc qu’il fallait aller dans le sens du vent, du politiquement correct, en un mot du remplacement, de se justifier de son racisme envers les Blancs ? La réponse est non. Il sélectionne 60 % de joueurs noirs mais on lui demande de jurer qu’il n’est pas raciste envers les Arabes…Ben voyons…
Le football c’est la société. La société c’est le football. Même principe qu’avec l’islamophobie. Ne rien dire. Puis quand des Blancs se font abattre comme des chiens à la Kalachnikov, au couteau ou autrement s’excuser des éventuels amalgames. Pardon d’exister.
L’équipe de France connaît une dérive africaniste. Nous avons des formateurs exceptionnels (racistes avec les Blancs ?), une formation exceptionnelle et à la suite de tout ce travail exceptionnel effectué par les anonymes de tous les jours nous avons des joueurs exceptionnels. Des blancs et des noirs. Mais les Blancs sont d’une certaine manière minoritaire, dans un espace psychologique minoritaire, de colonisé. Dans ces conditions nous ne pouvons compter que sur un public aimant, malgré cette catastrophe ethnique, un public à la maison et sur les qualités techniques et physiques des joueurs qui auront la mission de nous représenter. Nous devrons être dix fois plus forts que l’Italie, l’Espagne, la Croatie qui sont encore des formations européennes et qui joueront avec leurs valeurs identitaires.
Nous devrons jouer malgré les bâtons mis dans nos roues. Ceux du présent et ceux du passé. Malgré les Thuram héros de 98 qui dénonçait le racisme anti-black des Maghrébins mais jamais les autres racismes et qui après la victoire du 12 juillet 98 faisait une photo avec les « Blacks de l’équipe ». Ce communautariste fut par la suite employé par l’état français. Payé grassement sûrement. A nos dépens. Malgré Emmanuel Petit qui porte bien son nom au vu de ses déclarations débiles de colonisé et collabo assumé.
La France est l’équipe la plus noire des pays blancs et de loin mais ça ne suffit pas. Ils en veulent plus. Toujours plus. Leur haine est sans limites. Il leur faut notre pays.
Ils sont tellement racistes qu’ils ne comprennent pas notre ouverture, notre humanisme.
Les Chrétiens bafoués, humiliés, dans la misère, du Pakistan doivent être interpellés par l’élection du maire musulman de Londres qui a, comme tous les autres communautaristes et selon la Taqiya, fricoté avec les islamistes anti-blancs.
Nous n’avons qu’une chose à faire. Regarder l’Euro. Puis nous réveiller, nous lever et déclarer la guerre à cette horreur et cette prison qu’est le politiquement correct qui n’est rien d’autre qu’un deux poids deux mesures. Nous allons faire tomber les murs de cette prison.
Nous devons dire les choses. Dénoncer l’immonde racisme dont nous sommes victimes tous les jours, sur notre lieu de travail, dans la rue, partout. Nous sommes le peuple autochtone. Personne ne nous prendra notre pays ni notre place. Nous devons absolument inventer notre propre Taqiya à l’européenne. Ce n’est pas notre culture de déguiser nos sentiments mais il est temps de jouer pour gagner. Nous sommes le seul peuple légitime. Nous devons dénoncer leur racisme permanent et le faire tous les jours. Créer un véritable organisme de lutte contre le racisme et condamner le vrai racisme en cours, celui contre le peuple autochtone. Détruire les médias racistes. Demander et créer des médias respectueux du peuple autochtone. Dès demain. Aujourd’hui. Tout de suite. Leur prison ne tient que par leurs mensonges répétés en boucle du matin au soir.
Leur prison va bientôt tomber et nous allons recouvrer la liberté. Identifier, dénoncer, changer la donne, se décoloniser. C’est maintenant. Vite. Liberté. Liberté pour le peuple autochtone. Non à la colonisation.
Y-a-t-il jamais eu un seul extra-Européen qui a dénoncé cette destruction du peuple autochtone par l’utilisation de ce faux racisme dont ils profitent chaque jour par la discrimination positive si forte qu’elle n’a pas besoin d’être nommée ? Un seul ? Une seule fois ? Jamais !
Nous ne pouvons compter que sur nous et sur notre lutte. Notre réveil et notre lucidité. Certains ne peuvent probablement plus supporter l’équipe de France et je le comprends. Moi je ne peux pas m’en empêcher. Je les soutiens encore. Pour la Marseillaise chantée.
Demain nous serons libres. Martin Luther King déclara en son temps qu’aucune mort ne pouvait être plus rédemptrice que celle d’un homme abattu alors qu’il luttait pour sauver l’âme de son peuple.
Il avait raison. Rien n’est plus juste que la lutte de libération d’un peuple autochtone sur sa terre. Nous devons commencer notre lutte de libération. Elle a déjà commencé. Nous aurons besoin de toutes les forces. Unissons-nous. Dans notre identité et dans notre histoire nous trouverons toutes les forces nécessaires à l’avènement de notre libération.
Rigobert Gros de Cœur.
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